Guérir par le Toucher, là où nous avons été blessés, SOIGNER pour à nouveau HONORER LE FÉMININ DE L’ÊTRE en HABITANT NOTRE MASCULIN :

GUÉRIR PAR LE TOUCHER ?

Le Toucher est le plus blessé de nos 5 sens. Le bébé qui naît a besoin d’être touché avec amour, avec respect, avec douceur, avec sensibilité. Et l’enfant qui grandit, et l’adulte qui mûrit, et le mourant qui s’en va, chacun a besoin d’être touché en simplicité, en respect, en vérité, en amour !

et nous savons toutes, tous, ô combien ! dans notre chair, dans notre coeur, combien cette loi simplissime a été à tout instant bafouée, maltraitée, violée. Et nous sommes toutes, tous, des grand(e)s blessé(e)s du Toucher.

Alors il nous faut du COURAGE pour oser guérir, réapprendre à être touché, réapprendre à toucher, en confiance, simplement.
Mais ce n’est pas « si simple ». C’est un travail de retrouver comment ressentir l’intégrité de notre être, goûter totalement notre corps, « véhicule » de notre Esprit.

C’est ici que mes propositions de soin se rejoignent et se complètent :
– Dans le Chi Nei Tsang, toucher taoïste du ventre, nous pouvons venir libérer les blessures anciennes engrammées et retrouver notre légèreté, notre « virginité » enfantines, puis expérimenter le bonheur simple de sentir notre corps entier

  • … à réintégrer ensuite dans le travail de conscience, avec le support de mon expérience de la psychologie de Jung mais aussi des approches très larges des mystiques du monde entier sur l’espace à libérer en nous pour accueillir l’ESPRIT !

HONORER LE FÉMININ DE L’ÊTRE ?

Je ne veux énoncer aucune théorie, ni imposer aucune croyance, je veux juste partager ma vision personnelle, très simple et intuitive :
je vois comme une évidence notre trésor intérieur au féminin (que l’on soit homme ou femme, naturellement), et le grand rôle de notre masculin est de protéger, d’honorer de servir ce trésor.

Ce trésor n’est pas dans le ciel, il est au tréfonds de nous. il nous appelle, il nous attend, il nous aime. Il nous demande de l’aimer, entièrement, simplement.
Je suis dans la quête de ce trésor, depuis ma plus tendre enfance, me semble-t-il. Et je vois ma place sur terre comme réduite à mener cette quête pour moi, et la partager avec d’autres, les aider si je le peux avec ce que j’ai appris. Accepter notre corps, le soigner, l’aimer, écouter notre âme, répondre à ses attentes, sentir l’Esprit qui vibre, entendre quand il parle… RIEN d’autre !

HABITER NOTRE MASCULIN ?

Je l’ai dit, le rôle de notre Masculin, à nouveau que l’on soit homme ou femme, c’est bien de nous permettre, à l’intérieur, d’assurer la verticalité, la protection, la force pour que le Féminin se sente honoré et puisse rayonner dans sa douceur.
Simple à dire, une responsabilité, un travail d’une vie ! Mais quelle merveille si l’une et l’autre sont à leur place, n’est-ce pas « la NOCE » ?